Bordure de la rivière

(je continue à répondre même si je ne suis plus au Puy.)

Fylik sourit aux mots de Lili.

Mmmh, à quoi penses-tu mon ange?

Il la prit dans ses bras et l'enlaça tendrement.

Tu sais que je t'aime, n'est-ce pas?

Il déposa un doux baiser sur ses lèvres. L'air était toujours aussi bon, on pouvait entendre de petits bruits provenants des herbes, non loin de là.

tessay finalement se décida à sortir de l'eau ,sensuella se mordit la lèvre très fort à la vue de son corps attirant.
oui faisons un feu tessay tu as raison.
la brune s'activa à ramasser quelques belles branches sèches pendant que tessay se rhabillait et se mit a rire à sa réponse ..
oui mon ami mais il me faudra vérifier de plus prés voir si tu exagère ou pas ...
un long regard critique détailla le physique de tessay.
faut voir dit elle avec une moue coquine..
un moment plus tard , le feu flambait avec vigueur, éclairant la berge d'une douce lueur ,
tessay ,enlaça anne et tous deux s'assirent devant les flammes ..
sensuella finit par s'allonger, posant sa tête sur les cuisses de tessay..
le temps pouvait s'interrompre, cet instant était divin.
la petite troupe était toujours disséminée..
tessay et anne profitait de cet instant d'intimité pour entamer une conversation intime du bout des doigts et d'un frolement de regard..

dans l'air du soir chargé d'odeur de bois , quelques gémissements venaient interrompre le murmure du ruisseau...
un long chant d'amour pour un couple qui se découvre..

Cheminant doucement, Rosa écoutait Glaviot lui citer des phrases venant d'elle ne savait où... Chercher traces de la vie du petit peuple dans les hautes herbes du bord de la rivière l'amusait follement! A chaque brin d'herbe froissé, chaque fleur trop penchée elle s'arrêtait, obligeant Glaviot à moultes précautions. A genoux le nez dans la verdure, elle écartait les herbes pour trouver éventuellement dans la terre de minuscules empreintes.. Puis elle relevait la figure, en riant , bredouille, se remettait debout et essuyait ses genoux.

Ils ne sont pas ici, Glaviot, cherchons ailleurs!!

Un peu plus loin, ils trouvèrent un champignon au bord arraché. Rosa insista jusqu'à ce que Glaviot consentisse à admettre que le petit bout blanchâtre, là, n'était pas le morceau de champignon arraché, mais bel et bien une chaussure de fée. Rosie laissa la pantoufle par terre, pour le cas où sa propriétaire claudicante viendrait retrouver de quoi marcher droit.
Puis ils reprirent leur cheminement, mais furent stoppés par les souffles annonçant de façon évidente l'activité pratiquée par Sensuella et Tessay.
Rosa s'arrêta, les écouta un instant, et un sourire amusé aux levres, regarda Glaviot, lui chuchota:

Et maintenant, par où allons nous?

Les flammes s’élançaient à l’assaut de la nuit en crépitant. Anna avait sa tête sur ses cuisses, Elle le regardait langoureusement, il lui caressa les cheveux.
Au loin des plaintes d’amour lui parvenaient aux oreilles.

Anna serais-ce nos amis ? Ou un faune et une nymphe ? Peut-être qu’eux croient que c’est nous ?
Il rit, Anna aussi ils étaient heureux.

AH ! si j’avais pris mon luth, j’aurais joué quelques chansons, cette soirée m’inspire. Mais à défaut je reprendrais les paroles d’une chansons d’un troubadour que j’aime bien c’est un chanson de circonstance. Il se mit a fredonner en caressant les cheveux d’Anna :

Citation :

Dans l'eau de la claire fontaine
Elle se baignait toute nue
Une saute de vent soudaine
Jeta ses habits dans les nues

En détresse, elle me fit signe
Pour la vêtir, d'aller chercher
Des monceaux de feuilles de vigne
Fleurs de lis ou fleurs d'oranger

Avec des pétales de roses
Un bout de corsage lui fis
La belle n'était pas bien grosse
Une seule rose a suffi

Avec le pampre de la vigne
Un bout de cotillon lui fis
Mais la belle était si petite
Qu'une seule feuille a suffi

Elle me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je les pris avec tant de fièvre
Qu'ell' fut toute déshabillée

Le jeu dut plaire à l'ingénue
Car, à la fontaine souvent
Ell' s'alla baigner toute nue
En priant Dieu qu'il fit du vent
Qu'il fit du vent...

Georges Brassens

Les flammes diminuaient, les braises les remplaçaient, diminuant de fait la luminosité. Il regarda les étoiles scintiller au firmament, écouta les bruits de la nuit, les grillons, les clapotis de la rivière. Il tira sa cape pour recouvrir Anna, la fraîcheur se ressentait à présent que le feu s’estompait, entre ses bras elle s'était assoupie.

Tessay huma son parfum, caressa ses cheveux, la regarda. Ses lèvres fermées qu’il aimait tant embrasser, ses yeux clos qu’il aimait voir briller, ses cheveux noir de jais qui coulaient le long des ses épaules. Il lui embrassa le front pour ne pas la réveiller.

Il avait passé une magnifique soirée, ses amis s’étaient un peu dispersé mais là dans ses bras il avait son bonheur.

[i] Tornade hennisait d'impatience et d'inactivité depuis le départ de Tessay.

Lady l'avait panser avait fait lustré sa robe avec une brosse et descida de l'amener et de longeait la rivière avec elle.

Elle lui caressa sa crinière, lui murmura quelques mots inaudibles.

Une odeur vivifiante montait de l'herbe si épaisse que Lady en huma la brise, depuis toujours elle avait ressenti la moindre odeur avec précision et que personne n'éprouver à part elle.

Elle marcha doucement en tenant les rênes de Tornade elle regarda les roseaux , les joncs , les nénuphars et aperçue au loin les petits canards.

Une émotion nouvelle lui serrait soudain le coeur.

elle s'accroupie dans l'herbe en ramenant ses genoux et posa ses bras dessus , elle regarda la rivière et se mit à rêver.

Tornade trempa sa tête dans l'eau en remuant sa queue.

Tessay tenait la main de Lady et cheminait vers la rivière.

Arrivé sur la berge, il n'entendaient que le bruit de l'eau, le vent de les feuilles et le chants de quelques oiseaux.

Il vérifia néanmoins qu'ils étaient bien seul puis il ota sa chemise ses chausses si crotées par le voyage, puis ses braies si sales.

Il invita Lady à faire de même et plogea dans l'eau fraiche, et voyant que Lady tardait a arriver il lui envoya des éclaboussure pour la décider.

[i] Lady qui était entrain de se déshabiller elle avait étaler la serviette sur l'herbe et mis jupon et son corselet bien à plat pour ne pas le froisser.

elle regarda Tessay qui l'éclaboussait et s'écria :

" par dieu mon aimé l'eau est fraîche ! "

elle enleva ses chausses toutes poussiéreuses et rentra dans l'eau en se tenant au bras de tessay de peur de glisser sur les petits galets qu'elle voyaient miroités au fond de l'eau.

lady posa ses lèvres sur le bras de tessay lui donna un petit baiser et de son autre main avec douceur et attention lui mit pleins de gouttelettes d'eau sur tout son corps , elle lui frotta le dos ses épaules son cou et en continuant de le laver avec l'eau de la rivière s'amusa en jouant de ses doigts sur les muscles de son dos .

elle pencha sa tête dans l'eau et se mouilla tout son visage pour en enlevait toute la sueur qu'elle avait et qui lui coller à la peau.

elle regarda tessay en souriant et mis ses bras autour de sa taille et posa sa tête contre son cou en lui disant ;

" vos cheveux sont entrain de friser mon aimé "

elle lui versa de l'eau sur toute sa chevelure et regarda l'eau s'écouler sur son visage .

Tessay se sentait ravigoré par cette eau claire et fraiche.

Lady lui frictiona le dos et l'embrassait temndrement.

Il pris de l'eau dans les mains et lui frictionna a son tour le corps, puis ses mains se firent plus caressantes.

Mon aimée, malgré la fraicheur de l'eau la proximitée de votre corps me ragaillardit

Il l'attira dans l'eau et s'enfoncèrent dans l'onde jusqu'au épaule.

Il l'enlança et l'embrasse tandis que ses mains sous l'eau caressèrent sa peau tendrement.

[i] nus ruisselants l'un contre l'autre , lady et tessay se laver et se frictionner leurs corps en parfaite communion.

elle lui caressa ses épaules l'aspergeait d'eau sur tout son visage , elle riait se sentait heureuse en s'ébattant dans l'eau avec lui .

la peau blanche de tessay semblait pailleté d'or par le poudrement des rayons de soleil qui tamisaient les branches des arbres qui bordaient la rivière.

elle prit ses cheveux dans ses mains et les lisant avec ses doigts en les mettant derrière la nuque de tessay. elle embrassa son front , le regarda d'un air malicieux et soudainement en retenant sa respiration glissa dans l'eau et posa ses lèvres sur son ventre plat, qu' elle aimait tant embrasser.

elle écarta ses cuisses en glissant comme une sirène sous tessay. elle se retrouva derrière lui , elle ouvrit ses yeux sous l'eau et contempla ses fesses , ses lèvres se posèrent sur l'arrondie de ses fesses et en les effleurant à peine elle lui donna un baiser.

d'un coup de rein elle se redressa dans un jaillissement étincelant de gouttelette.

elle repris sa respiration et lui murmura à son oreille :

" Nous étions épuisés par ce voyage mon aimé !
se bain nous redonne de la vigueur ! cela me comble d'aise
vos yeux pétilles en me regardant dans l'eau
quel bonheur "
"dieu que je vous aime "
lady s'essuya ses yeux et reglisse dans l'eau en pensant de nouveau sous les jambes de tessay et en lui touchant de ses lèvres ses deux petites cerises de ses fesses.

elle émergea de l'eau se mettant devant lui et déposa un baiser contre son coeur et contre sa bouche elle sentit les pulsations sourdes qu'étaient sa vie.
et en tenant un petit galet de sa main , elle le déposa sur le haut de la tête de tessay..

Lady et Tessay jouaient dans l’eau, l’eau sur leur peau le léger courant et les ondulations de l’eau quand ils bougeaient l’un l’autre ajoitaient une délicate sensualité à ce moment.

Lady plongea sous lui, passant entre ses jambes, sa peau nue le frôla la sienne, puis ses lèvres vinrent déposer de doux baisers sur les parties les plus tendres et sensibles de son corps, les frissons qu’il ressentait à présent n’était pas du au froid.

Quand elle ressortie de l’eau il l’enlaça elle l’embrassa. Le corps de Tessay se tendit, il fémit, elle lui susura :

Citation :

" Nous étions épuisés par ce voyage mon aimé !
se bain nous redonne de la vigueur ! cela me comble d'aise
vos yeux pétilles en me regardant dans l'eau
quel bonheur "
"dieu que je vous aime "

Puis elle replongea lui provocant encore de doux frissons, quand elle ressorti de l’eau elle lui posa un galet sur la tête ...

Que voulez vous que je fasse de ce galet ?
Il risque de chuter, de nous blesser ...

Il l'ota et lui dit :
vous jouez les Naïades Lady … une nymphe des eaux ?
Prenez garde que je me transforme en satyre ...
A moins que ce ne soit votre désir ?

Il la repris dans ses bras, sa main lui souleva une jambe, faisant passer son mollet dans son dos. Sa verge se raffermissait au contact de sa toison . Il la serra plus fort, ses seins tendus se plaquèrent contre son torse, douce sensation de ses tétons érigés contre lui. Il prit ses lèvres, les léchas, les mordillas et puis embrassa avec une grande passion Lady.
L’eau l’aidait à la porter, mais il gardait ses mains sous ses fesses. il les caressaient doucement. L’eau autour d’eux semblait se réchauffer, il n’avait plus froid.

Il fit de lents mouvements, sa queue qui glissait ainsi sur son pubis lui procurait une délicate sensation. Le contact de l’eau ajoutait une grande sensualité. Il la regarda ardemment, il la désirait follement.

Une de ses mains descendit entre les jambes de Lady et délicatement caressa son pubis, sa vulve, c’était doux, déjà chaud et accueillant. Il caressa ses poils, passa ses doigts sur le bord des lèvres sans y pénétrer, remonta sa main direction de ses fesses puis la redescendit en sens inverse

Lady soupira, des milliers de paillettes brillaient dans ses yeux. Les siens brillaient de désir.

[i] LAdy effleura les lèvres de Tessay quand il lui parla , lui faisant un petit sourire elle lui répondit en soulevant ses cheveux collés par l'eau sur son front.

" satyre mon aimé!
je me régale de voir que vous êtes un bien doux ami, le satyre ! croquerait- il la nymphe des eaux! souple comme un roseau , je devine que oui!"
Lady se sentit submergé par une sensation voluptueuse qui la parcourait de la tête aux talons , elle se sentait ivre de plaisirs elle soupira en regardant Tessay

Tessay lui souleva sa jambe se laissant caresser elle s'arqua contre lui , le regarda dans les yeux ardemment .

elle écrasa sa bouche sur la sienne , leurs langues se mélèrent l'aspirant avec douceur, lady n'arrivait plus à détacher sa bouche de la sienne , elle frissonnait de plaisir .


sa main caressa ses fesses elle enserra sa verge elle lui caressa le bout de son gland et délicatement donna des petites pressions sur son sexe tendu contre sa toison en sentant la douche chaleur qui s'en dégageait.

elle s'adonna à le caresser longtemps en le regardant dans les yeux intensément .

elle sentit sa main chaude sur sa vulve , elle poussa un petit cri rauque et serra son sexe en regardant tessay les yeux mis - clos .

elle laissa glisser sa jambe sur les hanches de tessay et posa son pied sur le galet , sa cheville ripa en touchant le galet , elle lécha son pénis .
elle l'entoura de ses bras elle posa son visage dans son cou , lui mordilla le lobe doucement de son oreille en lui léchant tout le contour , et en haletant et frissonnant elle lui murmura


" allons prés de la berge mon aimé
venez , venez "
lady l'embrassa fougueusement tout en lui redonnant une caresse sur sa verge , ardente vibrante sous ses caresses qu'ils se donnaient en parfaite communion .

Les caresses de Lady sur lui ouvraient les espaces d’éternité qui emmenais vers le paradis.

Lady lui dit

Citation :

allons prés de la berge mon aimé
venez , venez "

Leur baiser fut long et langoureux.

Il pris ses jambes sous ses bras et tenant ses mains sous ses fesses, , la souleva Elle serra ses jambes autour de sa taille.

Il marcha dans l’eau la portant comme cela jusqu'à la berge, l’eau coulait le long de leurs peaux nues, sa verge toujours tendue frottait son bas ventre à chaque pas , ces caresses donnaient les prémices de ce qui suivrait.

Il déposa Lady dans un tapis l’herbe moelleuse. Il se relava et admira la beauté de ce tableau, les formes si douces de son corps nus, ses yeux pétillants qui le regardait.

Que vous êtes belles mon aimée…

Il s’allongea sur elle, l’embrassa et lui ouvrit les cuisses entre lesquelles il glissa les siennes.

[i] Lady se laissa emportait dans les bras de tessay en fermant les yeux en l'embrassant , oubliant tout les bruits autour d'eux. le clapotis de l'eau quand tessay la souleva et marchant dans l'eau pour l'emporter vers la berge oubliant les feuilles des arbres qui se balancer sous le vent .

ne sentant que son souffle chaud sur son visage , elle le tenait fort de ses bras autour de son cou et savourer chaque minute de se moment si délicieux qu'elle vivait pleinement .

Il la coucha sur l'herbe , elle le regarda dans les yeux quand il resta immobile devant elle en lui disant "qu'il la trouvait belle"

Une douce chaleur l'envahie , elle se sentit émue en regardant son corps nue ruisselants de gouttes d'eau que le soleil faisait brillé sur son sexe bander comme la corde d'un arc.

Quand il s'allongea sur elle ses yeux pétiller de bonheur, plaqué contre le sien , elle entoura sa taille de ses bras , lui caressa ses fesses , elle sentit qu'il lui écartait ses cuisses , sentant tout le poids de son corps sur elle , elle se laissa caressait .

le regardant fiévreusement en lui murmurant à son oreille des mots doux , des mots d'amours chavirant entièrement de cette étreinte si ardente , en frissonnant elle l'accompagna d'un coup de rein quand sa verge rentra en elle .

Transportés hors du temps tessay et lady s'aimaient , leurs vies s'offraient , se liaient , s'unissaient à cet instant par la seule force du désir qu'ils ressentaient l'un pour l'autre.

[i] Sentant une fraîche brise lui caresser la peau, Lady tendit ses mains à Tessay pour qu'il l'aide à se redresser.

D'un geste doux elle lui caressa son visage , embrassa ses cheveux fins , sa langue recueillit les gouttes de sueurs de son front. et sans prononcer aucune parole , se regardant dans les yeux , ils se rhabillèrent en s'aidant mutuellement .

leurs visages exprimer l'amour charnel qu'ils venaient de partager , ils étaient sereins , tranquillement main dans la main ils longèrent la berge pour reprendre le chemin de la ferme .

Lady se retourna une dernière fois vers la rivière et d'une petite voix lui dit:

" regardez Tessay!
A ton jamais rien vu de plus magnifique !
la lune naissante inonde la rivière il s'en dégage des reflets d'encre , des mauves rosé , cette incandescence est un savant dégradé de couleurs que j'aime !"

immobile éblouie lady regardait la rivière et penser soudainement à la toile qu'elle brodait et qu'elle y mettrait cette couleur .

en repartant sur le chemin lady arracha une touffe de menthe sauvage qu'elle froissa entre ses doigts pour en dégageait la senteur et la respira .
elle accrocha une feuille de menthe derrière l'oreille de tessay et lui redonna un baiser sur ses mains qu'elle reprit bien serrés dans les siennes .

ils marchèrent en contemplant les étoiles qui apparaissaient lentement dans le ciel , la nuit était tomber d'un seul coup et un hibou ululait dans un arbre les regardant marchait main dans la main.

Lady longeait le bord de la rivière, elle regardait la couleur de la rivière , les aulnes et les saules penchés qui ombrageaient ses bords, le glissement ondoyant de son eau sur les algues molles qui en peuplaient le fond, réveillèrent chez elle des réminiscences intense.

Tout le paysage l'enchanter, elle posa son sac sur le bord d'un talus , et elle sortit un crayon et un papier .

au dessus d'elle , un joyeux épervier passa comme un éclair et alla se poser sur un petit rocher .

Lady en profita pour le dessiner le temps qu'il reste là immobile en faisant la toilette de ses plumes d'argents.
Tout en dessinant , elle jeter de temps à temps des regards sur le chemin pour voir si Tessay accourrait vers elle.