La salle d'arme

Voila pour les entrainements avec toutes sortes d'armes

Apres avoir fioni le repas, Ben laissa Lani avec kles enfanst pour qu'ils fassent connaissances, il savait que Malta l'aiderait. Il embrassa sa douce et sortit vers la salle d'armes, il svait que sa filleule désirait plus que tout savoir se servir des armes.

Il arriva et resta quelques instant devant la porte, a observer cette jeune fille determinee. Il sourit et finin par rentrer dans la salle

Alors ma chere filleule on commence deja a faire connaissance avec toutes les armes.

Bon on va d'abord commencer avec un truc simple , et pas de rouspetance, prends le baton qui est la, je sais qu'un baton à l'air anodin comme ça, mais cela peut etre une arme tres mortelle si on l'utilise bien et si on frappe au bon endroit.

Ben prit egalement un baton et attendit que Ashley soit prete pour commencer la leçon

N'hesite pas Ash, tappe de toute tes forces mais en gardant toujours en ette de ne jamais laisser ses sentiments prendre le dessus

Ben continua a parer les coups de batons, se campa solidement sur ses jambes.

Tu vois en defense tu dois toujours avoir ta jambe en arriere pour ton equilibre

Aeris était à la recherche de Bentich, mais comme cette maison lui était encore que peu familière, elle ouvrait un peu tout les pièces à la recherche de son homme. Elle ouvrir la porte de la salle d’armes et ne put contenir un Waouh d’exclamation. Elle aurait pu quitter cette pièce, mais son enthousiasme était bien plus fort que sa raison, après avoir pris soin de refermer la porte après elle, elle avança vers le centre de la pièce et tourna sur elle-même dans cette salle gigantesque.

A ses yeux cette salle était féérique. Pour elle qui était forgeronne, chaque épée, chaque hache, chaque arme avaient une signification et une histoire bien précise, et voir toutes ses reliques en un seul et même endroit la rendait fière de son Homme.

Aussi sa curiosité s’arrêta sur une magnifique épée, très grande et très massive. L’épée était presque qu’aussi grande qu’Aeris et à cout sûr elle était bien plus lourde qu’elle. Cette arme avait une lame qui brillait, grâce à son métier, Aeris s’avait que cette arme devait avoir une valeur particulière pour Ben car elle était plus que les autres bien entretenue. Aussi Aeris approcha doucement sa main pour effleurer l’épée, elle était comme envouté par la splendeur de cette arme.

Aeris était tellement envoutée par cette épée qu’elle ne pouvait en détourner le regard. Aussi quand son tendre amour entra dans la pièce et ne le vit pas et ne l’entendit pas plus.
Cette épée semblait lui parlait au plus profond de son âme sur chaque éraflures, griffures, impacts, Aeris essayait d’en découvrir les causes, les conséquences, d’en faire un analyse.

En admirant cet ouvrage, Aeris ne pouvait contenir quelques larmes qui perlaient déjà au coin de ses yeux. Elle ressentait du malheur, une profonde tristesse, mais en même temps se mêlait un sentiment de joie. Elle ne pouvait expliquer cet afflux de sentiment qui l’a submergé.

C’est à ce moment précis qu’une main se saisie de la sienne.

Dans un sursaut de panique, elle se retourna, son cœur battant à tout rompre, elle n’eut pas le temps de voir à qui était cette main que déjà la personne l’embrassait.
La tendresse de ce baiser ne pouvait venir que d’une seule et unique personne aussi se laissa-t-elle donc aller à ce tendre geste affectueux. Lorsque son grand amour eu fini de l’embrasser il la questionna et elle répondit encore un peu choqué de cette arrivée si brusque à ses yeux.

Oui mon amour, ta collection d’arme est vraiment très intéressante, et j’espère que mes futures armes trouveront un peu de places auprès des tiennes.

Parmi toutes ces magnifiques reliques, celle-ci me touche particulièrement. Le fait qu’elle ait appartenue à ton père y est peut être pour quelque chose mais ça n’explique pas tout. En effet, je ne saurais t’expliquer pourquoi mais au fond de moi j’ai l’impression que cette épée me parle. En la regardant, j’ai si mal, mais en même temps j’ai un sentiment de bonheur intense. Cette part de ton héritage a une histoire, si la lame pouvait parler pour de vrai, je suis certaine qu’elle nous expliquerait pourquoi, malgré tout le soin que tu lui apportes, elle est dans un tel état.

Je ne sais qui a forgé ce chef-d’œuvre, mais on voit qu’il y a mis toutes ses tripes et tout son cœur. Cette épée sera toujours ainsi, alors que nous et nos descendants sur plusieurs générations seront déjà passés de l’autre côté.

Aeris fixa Ben dans les yeux comme pour essayer de lire en lui, mais elle n'arrivait pas à le sonder, alors elle continua.

Est-ce que tu pourrais m’en dire un peu plus sur cette épée et ton histoire ou plutôt celle de ton père ?

Je pense que je ferrai quelque recherche ensuite de mon côté, mais il est certain que cette épée n’a pas qu’une seule histoire…

Disant cela Aeris se remit à admirer le travail réalisé sur cette épée et n'en détourna plus le regard.

Finissant de l'embrasser, Ben l'écouta et admira sa façon de voir les choses, l'amour qu'il lui portait était énorme.

Oui cet épée à une histoire, mais contrairement a ce que tu crois elle n'en a qu'une, et je vais te la raconter si tu veux, comme ça en plus tu en saura plus sur mon passé.

Il pris la main de son amour et alla s'assoir avec elle sur le banc pres de la cheminée, l'épée dans l'autre main

Cette épée à été forgée par un maitre forgeron au service des Princes Evêques de la principauté de Liège en 1402, le 17 juillet exactement elle fut offerte à mon père qui était un officier de la garde épiscopale des Princes de Liège. Un jour de 1406, un seigneur sanguinaire dénommé Guillaume de La Marck, mieux connu sous le nom du Sanglier des Ardennes, attaqua la principauté et tua le prince régnant, ce fut un massacre des innocents périrent , la ville fut saccagée, mon père alors décida de nous emmener ma mère et moi vers le comte de Namur, ou nous vécurent heureux. mais revenons à cette épée. Un matin d'été 1423 mon père fut nommé bourreau et du se rendre à nouveau dans la principauté que nous avions fuit, personne dans la famille ne compris pourquoi lui et pas une autre personne jusqu'au moment ou il vit la personne qu'il devait exécuter.....................................Hé oui c'était le sanglier des Ardennes en personne, les princes évêques de l'époque voulait remercier mon père des services rendus à la principauté en lui accordant l'honneur d'être le bourreau de cet homme sanguinaire et de le faire avec son épée.

Mon père fit donc son travaille en décapitant Guillaume. Une fois cette tache accomplie, il se retira et nous sommes rentrés chez nous.

Les années passèrent et le jour de mon départ, mon pére m'a donné cette épée et depuis je ne m'en sépare jamais.

Ben regarda son amour, ses yeux brillaient tellemnt elle etait prise par l'histoire, Il l'embrassa tendrement [i]

Aeris détourna son regard de cette épée et regarda avec amour son tendre amant. Lorsqu'il lui prit la main pour la guider vers le banc elle se laissa faire et s'assit a côté de lui de telle manière qu'elle pouvait encore le regarder dans les yeux.

Puis elle écouta consciencieusement l'histoire de son futur beau-père. Elle ne pu contenir sa tristesse d'un tel récit. Elle ressentait la peine et la douleur qu'avait du ressentir l'aileuile de son amour durant les massacres.
Aeris avait le regard lumineux comme à chaque foix qu'on lui raconte une histoire. Connaitre le passé de ses ancêtres était pour elle impossibles, ses souvenirs étaient trop vagues, et les liens avec sa famille était rompu depuis bien trop longtemps. Aussi s'accrochait-elle à l'histoire aussi douloureuse soit-elle de son tendre ami.

Mon coeur pourquoi ne m'as tu jamais raconté cette histoire avant, pourquoi ne me parles-tu jamais de ton passé?
Pourquoi ton père t'as-t-il donné cette épée? Et qu'est ce qu'il utilise maintenant comme aeme pour se déféndre?

Tout en lui posant ces questions, elle se tourna, allongea ses jambes sur le banc et mis sa tête sur les genoux de son amour.

Chéri, j'aimerai tant savoir plus de chose sur toi et ta famille, après tout un jour elle deviendra le mienne aussi...

Puis elle ferma les yeux, et se laissa entrainé par la douce voix de son amant.

Aeris ferma les yeux pour mieux écouter et appréhender ce qu'il allait pourvoir dire. Elle buvait ses paroles comme de l'eau bénite, elle n'en ratait pas une miette. Elle voulait tout savoir de son homme et de sa vie.

C'est pourquoi lorsqu'il parla de Jamelia, Aeris eut mal, non seulement d'entendre encore et toujours ce même nom, mais aussi de savoir ce qu'elle avait vécu. Aeris ne saurait dire ce qu'il lui faisait le plus mal, être toujours mise en concurrence avec une morte sans que Ben s'en rende compte ou de savoir que si ça se trouve jamais il ne pourra l'oublier, ou plutôt il ne voudra l'oublier... ... ...

Mais de ces questions qui ne faisaient que lui faire mal, elle n'en laissa rien paraître, pour le moment elle était avec lui et c'était tout ce qui lui importait. Elle aurait bien le temps de se poser ces questions douloureuses dans un autre endroit à un autre moment et où elle pourrait être seule sans avoir peur de blesser son tendre ami.

Aeris écouta tout de même la fin du récit, se demandant si un jour elle était en danger, s'il ferait tout ça pour elle aussi. La seule fois, où elle avait été en danger, il était venu la sauver, mais là encore c'était en pensant à Jamelia... ... ... À se demander si à travers elle, il ne cherchait pas à retrouver son tendre amour perdu... ... ...

Une fois que Ben eu complètement fini son récit, il l'embrassa avec une passion et une tendresse hors du commun, elle savait au fond d'elle qu'il l'aimait, mais elle doutait.

J'espère qu'Aristote ne te forcera plus jamais à t'en servir mon ange dit-elle avant de se lever et de lui tourner le dos afin qu'il ne voit pas ses yeux qui commençaient à se remplir de larme.

Aeris tournait toujours le dos à Ben, non parce qu’elle ne voulait pas le voir, mais plutôt parce qu’elle avait peur de sa réaction s’il la voyait ainsi. Au lieu de la laisser seule dans son chagrin, il s’approcha d’elle et la serra amoureusement. Puis après lui avoir posé une question, il la retourna et l’embrassa très tendrement après avoir pris soin de lui essuyer ses larmes.

Ensuite il lui parla un peu pour la réconforter. Pour finir Ben offrit à sa douce un présent magnifique, la dague qui avait appartenue à Kyara et qu’il avait reçu en héritage à sa mort.

Non mon cœur, c’est un cadeau qui appartient à ta famille, il doit donc revenir à l’un de tes enfants, ainsi il restera dans ta lignée mon cœur. Tu ne peux pas me donner un tel cadeau. C’est bien trop.

Aeris était fort gêné que Ben lui donne une telle dague. Même si elle la trouvait vraiment très jolie, elle savait au font d’elle qu’elle n’avait pas le droit de l’accepter.

Tu devrais plutôt la donner à Malta, mon cœur, aventurière comme elle est, elle pourrait en avoir l’utilité assez rapidement et en plus ça lui ferrai une arme pour se défendre au cas où nous soyons un peu en retard pour l’aider. Et puis tu sais bien ………..

Mais elle n’eut pas le temps de finir cette phrase que déjà Ben l’embrassait tendrement et lui murmurait de jolie mot doux.

Elle le regarda droit dans les yeux et à son tour elle lui murmura : Toi aussi tu es la personne la plus important à mon cœur. Je t’aime tant mon amour.

Puis le baiser se transforma en un tendre câlin.

Mon ange, quand je parlais de ta fille, il s'agissait de Malta, pour que tu comprenne que les enfants sont aussi bien les miens que les tiens.

Il sourit a son amour, l'embrassa encore en l'entraina vers la pièce secrété. Il sentit bien qu'elle lui accrochait la dague mais ne dit rien
Il passèrent derrière la tapisserie, Ben ouvrit la porte avec la clé qui se trouvait pendue a son cou sur la même chaine que le médaillon de son baptême.

Il fit fermer les yeux a Aeris et la guida, quand il fut dans la pièce, il lui demanda d'ouvrir les yeux, et la, le spectacle pouvait commencer, les yeux de sa douce brillaient de mille feux, elle ne savait pas ou donner de la tête

Des armures anciennes





Des glaives anciens





Et toute sortes d'autres choses tout aussi magnifique

Sur la gauche une vitrine avec des anciennes pièces de monnaie


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Il la regarda pour voir sa réaction, et glissa dans sa main le double de la clé.

Aeris se laissa entrer derrière cette tapisserie. Jamais elle ne se serait doutée de ce qui l’attendait derrière. Mais le fait que cette pièce soit si bien cachée lui donné encore et toujours des idées tordus en tête.

Aeris s’était toujours demandé ce qu’étaient ces clés qu’il avait toujours au cou avec sa médaille de baptême, maintenant elle avait un début de réponse. En effet, il y avait encore une clé plus petite sur la même chaine. Comme une clé de porte normale… Son intérêt était piqué à vif. Mais pour le moment, elle se concentrait sur le fait d’essayer de garder les yeux fermés comme le lui demandait l’homme de sa vie.

Lorsqu’elle les ouvrit, elle était éblouit, partout où se posait son regard, elle ne voyait que des choses somptueuse : des armures anciennes, des glaives de différentes époques et de différentes formes, une sublime collection de pièce ancienne.

Pour le remercier, elle alla l’embrasser très amoureusement et très sensuellement. A un moment, elle sentit que Ben, lui mettait quelque chose dans la main. Elle vérifia et découvrit le double de la clé.

Mon cœur, tu … enfin, tu ne penses pas que … C’est trop mon amour. Je ne peux pas accepter. Tous ses trésors son tient. Elle lui rendit donc la clé et pour être sûr qu’il ne la lui rende pas de suite. Elle referma sa main et repartit rapidement vers les glaives.

Elle observer chaque glaives, chaque épées, chaque poignards, et autres armes avec une grande minutie. Chaque détail lui donnait une idée pour une prochaine épée à forger. Une lame qui semblait vieille et non coupante l’attira, elle s’approcha à grand pas, toucha la lame et se coupa assez profondément.